Merci à Tonton Z, qui, en voyant la photo des godillots de la « station rouge » de Stockholm, a pensé à un tableau de Magritte que je ne connaissais pas, et qui a eu la gentillesse de me l’envoyer.
Le voici, il s’appelle « chaussure-pied »
(je vous le redis ? vous pouvez l'avoir plus grand en cliquant dessus !)
Merci aussi à Simone qui s’est donné du mal pour nous trouver la traduction de l’inscription accompagnant les « godillots » (toujours les mêmes !) : "Les galoches du bonheur de la rue des artisans !"
Merci enfin à ma p'tite soeur qui a une souris-à-tête-chercheuse-découvreuse-de-trésors, et qui a trouvé le sens de ces "galoches du bonheur": les objets magiques, dans les contes d'Andersen comme dans la plupart des autres, changent certes la vie, mais pas toujours dans le bon sens. Certains deviennent vite des gâche-vie...
"Les galoches du bonheur" est le titre d'un conte d'Andersen, datant de 1838. Ces galoches ont le pouvoir de transporter quiconque les porte à l'endroit et à l'époque où il voudrait être. Elles vont entraîner les personnes dans des situations étranges...
Pour ceux qui souhaitent lire le conte dans son intégralité, cliquez ici